Nina maelainine

Nouveau

Arc en ciel a Paris

 

 

C’est après longue réflexion que je me suis décidée à partager un moment d’intimité dans une sophrologie totale et inconditionnelle.

Un récit d’une grande transparence et limpidité, l’épisode de mon accouchement. Une narration vouée à elle-même, écrite sous une forte poussée d’hormones altruistes .

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Cela se passe comme une émeute, comme un tremblement de terre..

L’émeute des rebelles, prêts à tuer n’importe qui sur leur passage. La joie mêlée à l’excitation, la solitude et l’appréhension de la douleur agonisante .

 

A 4 du matin, après ces ressentis, nous appelions un taxi. Cm,  était là, aguerri mais surtout à moitié endormi. Mon ventre rond comme la terre était bas, chose improbable depuis le début. Un petit ventre replié sur lui-même, honteux et confus. 25 minutes de trajet pour arriver à l’hôpital B, des vagues cruelles, des contractions et une migraine.. 25 minutes de pensées douteuses, comme nager dans un marécage d’encre de seiche. De la fenêtre, je percevais la seine gracieuse et noire, silencieuse,  qui s’entremêle aux chuchotements de Cm avec le chauffeur de taxi, je passais un compromis discret avec des murmures inconnus jusque-là. Un dédoublement improbable du moi, du moi présent, et du sur-moi. Un cours de philosophie dansait en silence.

Arrivés aux urgences, il me tenait la main pendant que je dandinais prête à pondre ce chef d’œuvre dûment  conçu 9 mois en moi. C’est avec une fine délicatesse que je jetais mes habits par terre et me jetais toute entière prête à recevoir ma péridurale tant redoutée.

Une parfaite combinaison d’indignité et de soulagement face à cette péridurale qui imprègne  les lombaires et paralyse les membres inférieurs. Ouverte déjà à 4 centimètres, je ne pouvais plus suffoquer, mon corps criait à la rescousse et mon mentale d’acier commençait à fondre, bien qu’il espérait vivre un accouchement sauvage et sans cette foutue péri..

J’accueillis à bras ouvert, mais surtout à dos nu, cette hantise consentie de la péridurale, l’allégorie du cobra s’enroulant autour de mes vertèbres.

Tout s’estompe, la douleur, les gémissements, tout.. Je vivais en parfaite harmonie avec mes membres prêts à expulser ce corps vivant en moi, ce corps étranger qui puisait dans mes ressources.. à dieu l’adage biblique du < tu enfantera dans la douleur >

 

Je vivais dans une bulle multicolore, béate avec mon anesthésiste dont le téléphone sonnait au rythme BB King. Je lui avais demandé de tamiser la lumière de la salle d’accouchement, puisqu’elle dégivrait mon froid naturel. Il s’accroupit devant moi, prenait mon pouls et ma pression, je lui balançais à la figure et d’un ton presque euphorique : » connaissez-vous l’histoire de la création de la péridurale ?  »

L’anesthésiste qui, même en 30 ans de carrière, ignorait  la réponse à cette question imaginée par une patiente jambes en l’air criant de désir pour une dose secondaire de cette morphine magique.

Il infirme, d’un sourire gêné. Je saisi alors l’occasion pour détendre l’atmosphère déjà très extatique.  » Pour tout vous dire, l’analgésie péridurale a été inventée en 1880 par un médecin américain, qui eut l’idée d’injecter ainsi de la cocaïne à l’un de ses patients souffrant de masturbation compulsive..  »  Il rigole et me tapote amicalement puis médicalement la jambe gauche.

Déjà 9 h du matin, 3 interminables heures assommantes  de jambes en l’air, de contractions plus houleuses les unes que les autres. De violents pics électriques me pinçaient le corps. A 14 h, cm gisait par terre, assommé par cette nuit monotone de travail de mon col, meurtri de voir un état second de sa petite femme. Je voulais tellement qu’il assiste à mon accouchement, ne pas être la seule charcutée émotionnellement, et puis, il en est pour quelque chose non ?

 

16 h..

«  Col ouvert à 10 centimètres, nous pouvons commencer  »

Un orage de courage et de bravoure, une tempête de peur, l’appréhension de 9 mois d’attente, un rendez-vous avec ma petite chose, mon petit scarabée, qui en moi, nous deux.. Avions parcourues terres et mers.

Les effets de la péridurale s’estompaient, j’avais demandé de l’arrêter, je commençais à ressentir une boule poilue, mon corps pénétrait la trance de la vie, il se hissait, hypnotisé, léthargique, presque inhumain. La mort était à mes côtés, et mon mari restait là, tétanisé par ce spectacle d’horreur et de bain de sang.

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Une descente lente du corps, tout mon corps qui s’ouvre dans cette ultime acceptation de l’affliction de la vie. Des poussées continues avec une concentration divine. J’étais noyée dans mon déchirement, les larmes aux yeux, invoquant mille et une éloges.

Les artifices tombent &  La nature prend place dans cette salle indéniablement avec l’alliance parfaite du délice et de l’amertume.

Une odeur chaude, l’arôme chaste. Les murs suintaient la vie, dans un assortiment fusionnel de cris de ma fille, mon pleurnichement et l’émerveillement de Cm. M’embrassant la tête comme pour me remercier.

Mon corps devenu dépeuplé, une sensation de dépaysement mais surtout un ventre vidé me vient à l’esprit. Un accouchement Sans péridurale à la fin ni épisiotomie se hurle sur les toits.

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J’avais sur ma poitrine une petite personne bouillante, couleur rose, qui transpirait le neuf. Il y’eu une différence de longueur d’onde, ne pouvant réaliser cet accomplissement dûr , de 14 heures de lassitude et d’exténuation et que, enfin, je suis devenue maman.

 

A maman , A Toutes les mamans ,  

Aux femmes .. 

   

 

 

 

 

 

 

Images : Amanda Greavette

Partie

{Un tiramisu vanille et un gin , Oui ce sera tout } ..

De mon œil ardent je scrute les parages et me surprend prise dans la vague de séduction contre mon grès . Si l’on peut dire c’est instinctif cet esprit de noble courtisane chez moi. Une odeur d’un siècle passé traduite par ma façon de m’habiller ou me farder. Le voilà , l’être voulu qui pénètre de son enjambement distinct et pur l’endroit , Je fusionne mon regard afin d’être synchro avec la victime . C’est par attirance pour lui que j’avais franchi ce pas entre le maudit et le mauvais.

Et puisqu’il ne pouvait désormais appartenir a aucune femme , ma passion ne s’est que raviver . De ses 40 ans passées  , il adore qu’on lui dévore le fondement et qu’on le mange de nos yeux . Il se met aux perversion comme un touriste qui fait La Thaïlande . Après les les femmes , il a le sublime las de certains acteurs , ce charme fou de bonne humeur et de nonchalance qui le rend lointain comme un astéroïde , mais moi , terre , il finira par s’écraser dans mon océan . Je quitte Le restau d’un pas sure et niais , puis fais en sorte de trébucher sur la chaise voisine .. je m’enfuis et je le retrouve derrière . je fonde le pas et attend mon carrosse de chez le voiturier .

– Mlle , vous avez laissé tomber votre écharpe . – Merci , c’est Madame ..

-Je peux quand même prendre votre numéro de téléphone ?

-Pas besoin , je t’appellerais ce soir .

Sur le rythme de mes pensées  , je revois son visage habité qui bouge et qui respire si sur d’être unique avec sa bague en argent qui ne fait que miroiter le désir d’avoir en mon tableau de chasse , cette belle créature . Arrivée chez moi , je sens le pas de ce petit animal qui cri à tue-tête , accompagnée de son maitre . { mamannnnnn .. }

Le prenant de mes bras , je suis mon mari au salon après avoir extrait de ma chair le pénible mentaux de secrets . et je m’écroule sur le canapé .

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Je suis la noble courtisane de ce siècle , moi , femme n’ayant aucune emprise sur ma vie telle une poignée d’eau claire Vous ne verrez pas mon visage ,je vous accorde donc ce dos bien lisse de soie , et mon corps qui glorifie le tissus de mon volume ..

A suivre…..

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Toutefois le temps passait et ma perversion s’amplifiait, Plusieurs discours se baladaient dans le sur moi et erreraient   dans un vrombissement  . F, avait cette mollesse de traits propre aux vieux beaux . Avec ses mains soignées , sa voix onctueuse , son échafaudage capillaire . Il semblait un prélat d’aventurier.


Je lui en veux de rentrer sans frapper à la porte , De prendre refuge chez nous , le lit étant devenu son héritage  et les moment de tendresse ses esclaves . La routine avait ce las qui peignait le tableau Abstrait   du déjà vu et déjà senti dans ma monogamie  depuis déjà 10 ans . Cette même routine avait la certitude d’ouvrer pour le bien de l’humanité  et mettre fin à une intoxication collective . Tout comme j’avais la conviction que je pouvais lui échapper , dérober ma jeunesse et m’évader  le temps d’une folie avec un convoité ou un verre chez un autre . J’avais déclaré la guerre à mes os qui se minaient et s’oxydaient de ses mesquineries et ceux de mon mari aussi . En quelques mois de mariage , jetais devenue une étudiante en session de rattrapage . Je suivais un double cours d’oubli de soi et d’intimité confisquée .A Mon tour de payer et d’acquitter mon du ..

 

 

La sonnerie de mon téléphone principale m’avait fait redescendre sur terre , Encore cette voisine bestiale pour me supplier de chercher son gnome a l’école .
Encore quelques minutes avant l’appel tant attendu , il s’est passer 3 jours avant que je me décide d’appeler F..
-Bonsoir
-Je t’attendais . Quel est ton nom ?
– Je suis au Cabestan , Je t’attend a mon tour
( a l’autre bout , un petit rire hésitant , Je l’attendais au véranda . Les hommes aiment les films , lui en acteur principale . Mais ce qu’il ne savait pas , c’est que ce film n’allait durer que quelques heures

Je suis la femme, dans tous mes états . Si l’on me regarde pas , c’est que je l’aurais fait exprès . Une femme , mère , mais aussi une petite fille . Il existe chez moi cette conjonction troublante d’érotisme et d’immaturité . Je vis mon charme comme une malédiction dans une société entre Le haram et le cool . Ou que j’ailles , mon arrivée à la force d’une apparition , J’installe autour de moi un cercle de convoitise et de déférence . Mais comme j’impressionne , je déçois aussi tôt mes interlocuteur de mon pitoyable statut de mariée qui me hantera toute ma vie .du moins … quelques mois 

Le cabestan est cet endroit incontournable à Casablanca . Mon endroit souvent un lundi , vide de ces salariés qui s’y bousculent le soir avec leur verre au quart rempli . Je l’avais choisi puisqu’il suintait le parfum de la tromperie .C’était pour moi un réservoir de splendeur et d’énergie ou j’éprouvais une surabondance d’ébranlements  , surtout celle de ma passion « Lhomme »
Et de cette idée émerge  Lhomme tant attendu .. Il Se nommait F.., Ou du moins un  nom que j’ai créé .
Je m’attendais à ermite anachorète  . Il représentait une sorte de décombres  des années 60 . Il en affichait tout les signes extérieurs : petite chemise bleu ciel sur un pantalon beige. Et cette foutu bague a l’index droit. Il était de ces gens qui se sont arrêter sur une mode puisqu’elle correspond au moment ou ils avaient plus de succès , mais f en a toujours . Grand, massif , je m’imaginais déjà me balancer sur son corps et escalader ses épaules dans une danse proche .12

– Comment vas-tu ?
– (de mon sourire anodin ) Ça va , Il fait beau .. Tu n’a pas trop tarder
– Disant Que jetais a deux pas
– Sans me vanter, je crois que t’a eu de la chance de me rencontrer

Dans son petit sourire forcé je pouvais discerner la haine et la stupéfaction d’un cocktail Molotov de Questions ..Décidée d’en faire ma pâture pour ce soir , Je lui parle d’une certaine fluidité qui jetait a un embarras sur lui .  Ce que j’ignorais , ce n’est pas son désir pour ma substance  , mais la réelle affectivité  que j’avais pour lui depuis que j’avais croiser son regard une semaine avant  ..

Premiere partie

{Un tiramisu vanille et un gin , Oui ce sera tout } ..

 

De mon œil ardent je scrute les parages et me surprend prise dans la vague de séduction contre mon grès . Si l’on peut dire c’est instinctif cet esprit de noble courtisane chez moi. Une odeur d’un siècle passé traduite par ma façon de m’habiller ou me farder. Le voilà , l’être voulu qui pénètre de son enjambement distinct et pur l’endroit , Je fusionne mon regard afin d’être synchro avec la victime . C’est par attirance pour lui que j’avais franchi ce pas entre le maudit et le mauvais.

Et puisqu’il ne pouvait désormais appartenir a aucune femme , ma passion ne s’est que raviver . De ses 38 ans , il adore qu’on lui dévore le fondement et qu’on le mange de nos yeux . Il se met aux perversion comme un touriste qui fait La Thaïlande . Apres les femmes , il a le sublime las de certains acteurs , ce charme fou de bonne humeur et de nonchalance qui le rend lointain comme un astéroïde , mais moi , terre , il finira par s’écraser dans mon océan . Je quitte Le restau d’un pas sure et niais , puis fais en sorte de trébucher sur la chaise voisine .. je m’enfuis et je le retrouve derrière . je fonde le pas et attend mon carrosse de chez le voiturier .

– Mlle , vous avez laissé tomber votre écharpe . – Merci , c’est Madame ..

-Je peux quand même prendre votre numéro de téléphone ?

-Pas besoin , je t’appellerais ce soir .

Sur le rythme de fairouz , je revois son visage habité qui bouge et qui respire si sur d’être unique avec sa bague en argent qui ne fait que miroiter le désir d’avoir en mon tableau de chasse , cette belle créature . Arrivée chez moi , je sens le pas de ce petit animal qui cri à tue-tête , accompagnée de son maitre . { mamannnnnn .. }

Le prenant de mes bras , je suis mon mari au salon après avoir extrait de ma chair le pénible mentaux de secrets . et je m’écroule sur le canapé .

 

 

 

 

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Je suis la noble courtisane de ce siècle , moi , femme n’ayant aucune emprise sur ma vie telle une poignée d’eau claire Vous ne verrez pas mon visage ,je vous accorde donc ce dos bien lisse de soie , et mon corps qui glorifie le tissus de mon volume ..

A suivre…..

 

En passant

Imposture FM

Cet article a pour but d’attirer le monde sur les altercations qu’on subit les lieux saints islamiques . Ainsi que la symbolique maçonnique infiltrée dans la culture musulmane .. Les lieux saints ne cessent de subir des changements sabbatiques et lucifèrique .

Il y a depuis 2010 une grosse vague de changements dans le monde et l’empire du diable prend de l’ampleur chose qui me révolte et qui a fait que j’écrive cet article aujourd’hui.

Nous , musulmans avançons vers un chemin faussé et erroné, ce chemin trompeur diabolique mais nous ne sommes pas conscients .

Nous sommes engloutis dans cette matrice , ce damier noir et blanc , bon et mauvais , monde matériel et monde spirituel.

Les maçons, qui sont-ils ?

Il me semble presque impossible de définir la franc-maçonnerie , les obédiences maçonniques en elle même défendent chacune des conceptions différentes : c’est une institution philanthropique pour la recherche de la vérité qui bannit la morale religieuse . Une secte a ordre initiatique fondée sur la fraternité et la loi du secret . Je dirais même qu’ils sont polymorphe dans un espace spatiotemporel .. C’est cette croyance isotherique fessant passer l’âme des ténèbres a une illumination .

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La symbolique

Pourquoi le compas et l’équerre ? Pourquoi le crâne ? Le G ? Le damier ?

Une forte liaison liée aux origines de la FM qui sont nées des descendances des bâtisseurs , les architectes comme on les surnomme ayant bâtit de grands monuments ( Pyramides , tour de Babel , temples mayas … )

Le crâne est le siège de lame et la demeure de l’esprit. Il symbolise la mort physique pour la résurrection a un niveau spirituel supérieur ou l’immortalité . C’est la voute céleste , le temple du ciel en miniature , en d’autres termes le divin , ou comme ils l’appellent dans un consensus laïque : Le grand architecte .

Je vous expose ensuite ma conception du symbole de l’équerre en FM .

Sur le plan spéculatif , elle représente la perfection de la labour du maçons épuratif par excellence , un symbole de la vertu et de la droiture . L’équerre est un l’un des trois symboles des grandes lumières . Sans pour autant en oublier la fameuse lettre G qui crée plusieurs hypothèses . G pour God me semble logique étant donner que la FM spéculative est née en Angleterre , or ma conception est peu aprehendee au sens isotherique . Il y a plusieurs hypothèses a cela ( Graal , Geometrie , gnose ou encore gamma ) mais je ne m’attarderais pas sur cette liste peu exhaustive .

Enfin , le pavé mosaïque est placé sur un carre forme de cases blanches et noir . Formant un damier tel un jeu d’échec . Dans de nombreuses cultures le blanc et le noir s’affrontent ( ying et yang ) une forme de dualité qui se bat . C’est la pensée hermétique qui fait bouger le damier tantôt blanc et tantôt noir.

Et Lucifer dans tout ça ?

Sa subversion a commencé avec Adam et l’arbre défendu .  Puis avec le meurtre de Habil par Qabil . Et jusqu’à nos jours il sieverts a faire tomber le fils d’Adam dans le Shirk et ce en introduisant des symboles erronées qui n’on rien a voir avec l’islam ..

Le croissant et l’étoile a 5 branches ( dite pentagramme ou étoile de Salomon ) ne sont pas des symboles musulmans , ils ont été introduits pendant l’empire ottoman à la chute de l’empire Byzantin . Aussi l’on retrouve le croissant en haut de la tête du dieu IAH ( idolâtrie égyptienne ) . Ainsi retrouvé en Haut de la tour de l’Horloge a la Mecque.

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Histoire

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L’Obelisque , qui désigne la brochette a rôtir est un monument monolithe ayant été utilise dans l’Egypte antique . D’une conception puritaine c’est la représentation du phallus. La propagation de l’obélisque se fait aux quatre coins du monde mais aussi a l’ancien lieu de lapidation

Celui en image :

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Devenu celui-ci :

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Et bien évidement, nous retrouvons l’obélisque Ici :

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Je suis personnellement convaincue que la Oumma est largement infiltrée par La FM et les cercles secrets. Voila ce qu’on trouve a la Mecque en 2013 , Un mur des lamentations . Et une obélisque a Arafat qui se trouvait avant dans l’ancien * Rajm / Lapidation Et que les pèlerins adorent comme une statue .

<< La fin des temps ne viendra pas tant que les idoles ne seront pas adorés dans pa péninsule arabe >> Le messager d’Allah .

{ Le pèlerinage c’est Arafat }

C’est ainsi que commence le cercle infernal de L’Arabie saoudite entrain de détruire les deux plus grandes villes saintes de l’islam . La Mecque et la Medine d’une valeur religieusement inestimable et ce dans l’indifférence la plus totale de notre monde .

<< A la Mecque , la maison d’une des femmes du prophète Mahomet a été démolie pour faire place a des toilettes publiques et son lieu de naissance va également être rayé pour permettre la réalisation d’un centre commercial . >>

Il est certain que cette liste ne peut se prétendre complète  De par ma faible érudition Franc-maçonnique , j’ai conscience, que par omission involontaire d’autres explications tout autant significatives, et intéressantes n’ont pas été relatées dans cet article .. Je n’ai cité dans mon article que les dires rencontrées lors de mes documentations . Mais il est tout aussi certain, qu’aux fils des années cela changera .

En passant

nuages et soleil ..

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Lettre à Soleil , à une amie , à une sœur ..

Sèche cette larme luisante , car Elle l’aimait d’un amour profond et inconditionnel et c’est pour ça qu’elle n’est plus la aujourd’hui . Sa mort oblige chacun de nous , a s’arrêter , a faire le point de sa vie , a comprendre qui il est et ce qu’il est devenu ..Si elle était avec nous elle nous aurait demander de ne pas pleurer sa mort mais de célébrer sa vie , elle nous aurait dit , d’aimer notre famille de toutes nos forces et de rester proches d’elle car elle est ce que nous avons de plus précieux ..

Notre douce et tendre amie, toi qui es prisonnière des infâmes solitudes de la mort…Par-delà l’abîme de souffrance et le mal qui nous ronge aujourd’hui , on ne peux continuer à vivre ainsi . Je t’écris ces mots ouvertement , mais je suis raisonnable , je sais que tu ne peux les lire ; car tu es réduite au silence éternel.Tes merveilleuses lèvres vermeilles, ton magnifique teint sépulcral, pareil à la neige si froide qu’un jour d’hiver ; sur ton sublime visage tout rond alors reposant sur un doux linceul funèbre. Il apparaît sans cesse en mon esprit. Lui, qui est tant meurtrit.

Parfois, je me surprends à errer sans fin dans les souvenirs étroits , les jours heureux et ensoleillés ..

Je m’égare quelque peu, j’en suis bien navrée.En cette froide et morne nuit, que la lune n’éclaire plus , son soleil a subitement disparu , je ressens le besoin suffoquant , de te raconter les tourments de ta famille , de tes proches & de tes amis ..

Tu incarne La perfection , cette même perfection qui n’a pas lieu d’être sur cette terre , de désastres et de fatalités . Souvent , le remords et la culpabilité , me rongent affreusement , remords de ne pas t’avoir plus , connu . Mais cela ne dure qu’un temps , le temps de réaliser que tu a disparu …Les pleurs & les cris qui s’enchainent , tous , naissent de l’affreuse pensée que jamais un souvenir , avec toi ne sera plus partagé . Je me sentis un peu mieux lorsque je n’entendis que du bien des bouches des présents , bien qu’ayant l’âme désastreuse .

Mais ta maman s’agenouilla brutalement à terre, pleurant longuement. elle ne savait pas ce qui se passait , elle était perdue , foudroyée par l’éclair du désastre . Elle trouve avec peine la force de se lever chaque matin , son rayon de soleil qui avait déserter les lieux . De jour en jour elle s’affaiblit , en proie au désespoir..A la suite d’un profond moment de tristesse , tombés dans le puit d’une douleur extrême , Le soulagement nous porte main , & vers la délivrance nous méne .. Parce que la place d’un ange , n’est guère sur terre , mais dans les cieux ..

Une pensée me vient à l’esprit, suis-je si désœuvrée au point de t’écrire tout en sachant que jamais , tu ne me liras . Je suis sans doute stupide et ganache .

 

 

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Ô notre muse, on se sens si tristes et abandonnés …

On se perd à jamais dans l’océan profond de l’isolement .

Notre magnificence, Notre belle Chems , TU SERA TOUJOURS AVEC NOUS ..

Chems Echawni Décédée Le 13 Novembre 2010 ..

En passant

Or et carmin d’une petite soeur …

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Toi , ma soeur

Il y a quelques temps..

Tu étais à mes trousses, voulant découvrir le monde au bras de ta grande soeur. Il y a quelques temps, je trouvais souvent bien pénible d’avoir ainsi un chien de poche en guise de petite soeur. J’ai tenté, du mieux que j’ai pu, de faire pousser tes ailes pour que tu puisses voler de par toi-même. Lorsque ces ailes ont finalement atteint leur maturité, j’ai vite compris qu’elles te porteraient loin, très loin. Tu as toujours poussé les limites ..Tu as su, par ta détermination nous éblouir. Toutes les frasques que tu as pu faire ont su nous faire rire ou nous faire désespérer. Il y a quelque temps, tu étais encore toute petite, avec tes cris et ton grand monde imaginaire que toi seule pouvait visiter.

 

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Et maintenant…

Maintenant, tu es devenue grande. Grande et belle. Fière et forte. On sait toutes les deux que la vie ne t’a jamais vraiment fait de cadeaux. Tu as trimé dur pour arriver où tu es aujourd’hui. Tu as su nous tenir tête dans tes ambitions, dans tes rêves, dans tes envies et tes besoins  . Tu as ce courage que je jalouse parfois. Cette « inconscience » que je t’envie secrètement.

Notre relation s’est transformée au fil des ans. On a cessé nos incessantes guerres pour trouver le terrain d’entente, dans le compromis . On a accepté nos différences pour les muter en forces à nos propres yeux. On a compris que nous avions le même sang en nos veines, la même source de vie, les mêmes valeurs.

 

 

 

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Et d’ici quelque temps…

Nous avons grandi dans un nid qui prône l’affranchissment des limites. Qui encourage le dépassement de soi. Tel est ton prochain objectif.

Je te souhaite un peu de facilité, un peu de douceur dans ce périple qu’est la vie …

Je t’adore, p’tite soeur. Comme nul n’a jamais adoré ..

Quelle NAÏVE-MEDIOCRITÉ !

« Dans la scène de mon premier orgasme, on aurait pu filmer “ Le Titanic ”.. »

 

 

 

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Je m’ étais parée de mes plus beaux bijoux et d’un enivrant lait de vanille .. Seuls , dans son lit doux , de la moiteur qui sommeillait dans mon ventre a viré carmin. Un feu à exécuter Les miroirs de sa chambres fixés au mur. Endiablé , Brûlant et éternel. C’est ça, l’orgasme. Une souple fièvre de chaleur qui monte jusqu’aux oreilles, déborde l’être et le bascule dans l’oubli de lui-même jusqu’à effleurer l’au-delà. Après, je me suis retrouvée telle une noyée ramenée lentement aux vagues brisée de la réalité ..

 Je suis une femme dans la vingtaine astucieuse et spirituelle , sans tabous mais sans pour autant avoir des hantises très curieuses . Je vois dans la nouveauté des plaisir de chair un moyen de contourner le prosaïsme et la vulgarité liées aux assuétudes qui s’installent et qui tuent le désir .

 J’aime caresser le corps de mon homme , et la tentation est parfois grande de déraper en dessous de la ceinture en se promenant niaisement sur son dos . Explorer ces zones des doigts est un plaisir dont je ne me lasse plus , mes mains sont dotées d’une telle élégance et délicatesse qu’ils feront frémir les galets . J’aime jouer aux exploratrices aventurières ou guides touristique découvrant des paysages aussi variés dans cette plaine aussi somptueusement érogène . Commenter la sensation de mes mains fines et ainsi voir apparaître son sourire de plaisir , l’entendre respirer doucement , puis profondément ne pouvant s’empêcher d’humidifier ses lèvres ..

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 Lui : un Bel homme tant convoité , un homme à femmes , dont l’attrait défendu n’en avait que plus d’intérêt. Je suis jeune, ambitieuse et narcissique. Et je crois que l’énergie de cette jouissance n’était pas seulement due au plaisir de m’enrouler autour de mon homme . Il jouissait d’une certaine aura, à la fois d’inaccessibilité et de charme fou . Toutes mes amies en étaient folles et mes parents m’avaient mis en garde contre lui. Mais il m’avait promis de vivre au jour le jour tels des amoureux découvrant la vie et ses béatitudes pour la premiére fois ..

Ce que mes parents et toute la société m’empêchaient d’assumer , endosser la tentation défendue . Je crois que je me suis sacrifiée dans ses bras, à tout ce qu’il représente pour moi de satisfaction et de défi mais surtout d’amour , à ce désir qu’il avait pour moi comme à ma capacité de séduction, stimulée par ce lieu et cet homme frappés d’interdits . La jouissance n’est pas qu’une poussée d’hormones , d’assouvissement d’envies ou de besoins . Tout ce que l’on est à ce moment-là, tout ce que l’autre représente à nos yeux , et tout ce que l’union de nos deux corps entame comme chemin . Il a explosé dans mon corps. Un orgasme d’une force inouïe. Jamais je n’avais connu ce complet embrasement qui semble venir de loin , du fond de soi-même, qui soulève le corps et rayonne presque au-delà de lui.

Une raideur sourde contractant le bas-ventre, déclenchant une série de spasmes qui se hissent dans le corps, se diffusent en lui, avant que ne fulmine dans la tête un véritable feu d’artifice. Sidérée, on a recommencé. Deux fois, trois fois, quatre fois… ça marchait à tous les coups. Finalement, me suis-je dit, tout cela n’est qu’une histoire de crispation mélangée à un zeste d’amour ..

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Je me fais pitiyé a m’en relire .. étais-je si naive ?

L’amour peut il cotoyer la haine ?

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….Si aimer c’est dévoiler sa mollesse sans que l’autre en profite, lui, à l’inverse en usait pour me déchiqueter sans pitié . Non content de bondir sur n’importe quelle paire de jambes , il ne manquait pas une aubaine de m’amoindrir … Dans une discussion entre amis à la moindre objection de ma part, il me coupait pour vomir ses : tu ne comprends pas … Il considérait goguenard et saugrenu mes ouvrages de chimie simplement parce que lui occupait un poste important …

Un jour j’ai compris, il prenait la pose du maitre pour me rabattre la bouche … Lui, avait développé l’art de faire croire qu’il valait plus qu’il ne paraissait, il aspirait à la dignité familiale comme une sorte de légion d’honneur . et toujours sa tenacité puérile d’être à part , de ne pas imiter les autres ces moutons englués & piégés dans le système .

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Il bégayait quand il causait,  ce trébuchement léger que j’avais ignoré pendant les premiers mois .  Je l’adjurais de consulter un médecin orthophoniste ou d’entreprendre une cure , oui je poussais le bouchon un peu fort . Je lui lançais au visage comme un handicap !

Je reprenais la prépondérance et la domination  en qualité de femme et cela le diminuait et le réduisait plus bas que terre .Plus j’insistais plus sa langue s’embourbait , butait les premières syllabes  et je n’avais plus pitié de le voir agoniser ainsi . je m’enivrais presque à le voir changer de sujet ou se taire me fixant  de ses yeux offensés et crédule , Il était tout beau ainsi .

Ces derniers temps surtout ,je m’exaltais de son malaise , je soulignais sa gaucherie dans sa manière vestimentaire et je creusais la plaie : chéri ,  tu ne laissera de traces dans l’histoire que le sperme dans le lit de tes maitresses . je me régalais de sa gêne et du malaise amoureusement éprouvé ..

Il avait eu tort de déclencher  les hostilités estimant qu’une certaine cruauté émousse l’âme , épice le quotidien , abat la routine et aiguise mon amour pour lui  . Une fois sa barbarie retournée contre lui , il été bouleversé , tout retourné ..   ,son lyrisme qui m’avait impressionné dans le temps se réduisait à un bel amas de clichés insignifiants.

J’étais tombée de haut !

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Je me suis rendu compte de sa manœuvre stratégique  pour aborder les femmes  , Il apprenait par cœur les citations, les anecdotes qui lui donnaient auprès d’elles  un air de profondeur trompeuse . Ainsi les phrases plutôt pétillantes qu’il m’avait jeter les mois premiers et que j’avais cru inopinées , non seulement n’étaient pas de lui mais sévissait des années avec d’autres ..

 Tu m’as trompé, tu n’es qu’un tricheur , tu scintilles d’un éclat emprunté et tu me lasse ..

Une senteur acide suintait de mon corps meurtri , une confusion de transpiration & de colère . J’allais m’évanouir de cris plus strangulatoires les uns que les autres .. Je me mordais les lèvres a en déchiquetait l’inférieur .. Je ne pouvais pas croire que je m’était trompée . J’avais du vieillir sans m’en rendre compte , une année de tourmente , je passais la main sur mon visage pour y détecter les crevasses de peine , les déchirures de malheur et les rides évidée d’un cœur brisé ..aujourd’hui je suis guérie des hommes pour quelques semaines . et je quête des plaisir plus subtils que les prouesses de mon corps de femme de 20 ans ..

Tendresse d’ailleurs

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                               C’est avec embarra que j’effleure mon crayon

Il m’a fallu quelques secondes pour apprécier l’anxieux complexe de la page blanche , le syndrome des mots fourvoyés, de cette carence d’imagination, peut être d à cette année de claustration …
Il m’a fallu quelques minutes pour reprendre mes esprits, me convaincre que je suis toujours celle que je crois être, avec une expérience de plus … quelques heures pour percer l’ingratitude endémique des gens … je n’avais pas besoin d’eux & eux non plus …
Mais il m’a fallu quelques mois pour cette délivrance , faire le tour du monde , entre périples & dangers, amour & amitié, je m’abandonne aujourd’hui a mes feuilles qui suintent l’odeur du courage ou l’odeur de l’apitoiement sur mon sort.

  »  J’adore les plaisirs tout simples , ils constituent le dernier refuge des êtres complexes  »

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